Difference between revisions of "Charte de recherche Coopernix"
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* la raison humaine a d'abord été '''stémique''' (stem : pensée, dicton, proverbe, ordre, règle, loi, proposition nomo-sémantique), | * la raison humaine a d'abord été '''stémique''' (stem : pensée, dicton, proverbe, ordre, règle, loi, proposition nomo-sémantique), | ||
* puis '''systèmique''' avec le syllogisme où les stems sont mis en jeu pour structurer les données comportementales de leurs intersections qualifiées par leur métadonnées. | * puis '''systèmique''' avec le syllogisme où les stems sont mis en jeu pour structurer les données comportementales de leurs intersections qualifiées par leur métadonnées. | ||
| − | * aujourd'hui '''dixémique''' <ref>du grec "diktyos", maillage, réseau, -> diktémique, adouci en "dixémique" </ref> lorsque la structure pré-établie, cède le | + | * aujourd'hui '''dixémique''' <ref>du grec "diktyos", maillage, réseau, -> diktémique, adouci en "dixémique" </ref> lorsque la structure pré-établie, cède le pasau déploiement en agories (cf. J. Baechler : groupes en leurs agoras spatiales, intellectuelles, informationnelles hybrides, etc.) selon les syllodonnées <ref> syllodonnées : données entre données liées. </ref> des éléments nébulaires, cybernétiquement vagues ou encapacités, |
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Revision as of 11:14, 15 September 2021
La charte du projet de recherche Coopernix est imprédicative en ce sens que la tâche première de ce projet sera la définition et la tenue à jour de cette propre charte elle-même dans le cadre qu'il se définira lui-même à partir de sa propre conflexion et de ses propres analyses expérimentales. Se fondant sur l'identification des académies des sciences d'une "manière" propre à la "recherche Hors Murs" et à l'"inacessibilité" à ses résultats par les recherches qui ne la partagent pas elle repart donc de ses propres fondements épistémologiques.
La première des remarques est sans doute que :
- la raison humaine a d'abord été stémique (stem : pensée, dicton, proverbe, ordre, règle, loi, proposition nomo-sémantique),
- puis systèmique avec le syllogisme où les stems sont mis en jeu pour structurer les données comportementales de leurs intersections qualifiées par leur métadonnées.
- aujourd'hui dixémique [1] lorsque la structure pré-établie, cède le pasau déploiement en agories (cf. J. Baechler : groupes en leurs agoras spatiales, intellectuelles, informationnelles hybrides, etc.) selon les syllodonnées [2] des éléments nébulaires, cybernétiquement vagues ou encapacités,
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- ↑ du grec "diktyos", maillage, réseau, -> diktémique, adouci en "dixémique"
- ↑ syllodonnées : données entre données liées.
Le propos initial semble devoir être :
- de maîtriser ses modes de pensée et de compte-rendu identifiés à partir de l'expérience commune passée et des explorations pouvant être tentées à moindre charge (critère de praticité pour une approche qualifiée de citoyenne).
- d'explorer, et le cas échant, de valider expérimentalement le concept d'architectonie, comme une couche intermédiaire entre l'"Etre" (ontique) et le Faire (action), conditionnant sans doute le Possible dans un modèle de réalité "Etre, Possible, Faire, Fait" intellectuellement vicarié par AIIA. il s'agit donc de technosophie fondamentale.
Le "banc d'essai" retenu est celui de la mathémagorique de la vicariance numérique de la recherche Hors Murs, c'est-à-dire une approche basée sur une noèse non pas seulement logique, mais agorique (cybernétique des logiques propres).
- d'amariner son support sous un "neb" collaboratif (multi-livisaires) dont l'intimité sera sécurisée.
